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    Il y a des jours bénis de bonheur intense !

     

    Tout a commencé par le constat de la piètre qualité du revêtement mural en fibre de verre acheté récemment. Celui qui nous restait de Lille était bien meilleur en rigidité et en épaisseur. Rien d’étonnant, dès lors, qu’à la pose du premier lé nouveau cela fut d’un raté pas possible : plein de bulles et de grosses rides. Une cata.

     

    C’est alors qu’est survenu ce moment que j’attendais depuis des années : la reconnaissance de mon art pictural.

     

    Jipi a dit : on cachera tout ça avec quelques-uns de tes grands tableaux…    

     


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    La journée la plus chaude ici c’était jeudi : notre thermomètre indiquait 39°C bien faits. La soirée et la nuit furent très pénibles parce que là-haut à l’étage il y avait 32° et que le ventilateur ne brassait que de l’air trop chaud et trop sec.

     

    Accablé par un rhume Jipi n’arrêtait pas de tousser si bien que nous n’étions pas frais du tout vendredi matin.

     

    Pour ma part j’estime que la journée d’hier, vendredi, a été la plus horrible à vivre dans cette période de canicule.

     

    Nous nous attendions à un orage comme l’avait prévu la météo.

     

    -      Je rêve d’une petite pluie fine et constante, disais-je.

     

    -      Tu as le droit de rêver, me répondait Jipi laconiquement.

     

    Et comment tout cela s’est finalement terminé ? Par une petite pluie fine et constante !

     


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  • Si au bout d'un mois dans cette région ma peau s'est fortement colorée (contraste avec la marque du bracelet-montre) quelle sera ma couleur générale dans un an ?

    DEVINETTE


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  • Blog mis au frigo jusqu'à la fin de la canicule...


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    La vie à la campagne nous mène de surprise en surprise : ça grouille de vie par ici.

     

    Ce matin, en refermant les volets côté cour avant que le soleil ne darde ses rayons sur les vitres, voilà qu’une petite masse sombre tombe à mes pieds au sol. Une pipistrelle ! Morte ?

     

    Elle ne bougeait pas et en m’accroupissant pour la voir de plus près, j’ai vu son petit corps au pelage brun chocolat frémir. Toujours vivante donc. Je ne l’ai pas touchée. Nous sommes partis faire des achats et en revenant une heure plus tard la petite chauve-souris n’était plus là. A-t-elle enfin pu retrouver le dortoir sur l’autre façade de la maison ?

     

    Cet après-midi autre spectacle : des dizaines et des dizaines de bons sauteurs verts s’épuisaient à sauter sur le mur en retombant rapidement au sol. Je ne sais pas s’il s’agit de grillons, de criquets ou de sauterelles. Les bêtes mesurent entre 2 et 3cm de long, avec des antennes courtes et fines et ont le corps vert. Beaucoup gisent mortes au sol. Il y en avait sur les chaises blanches, sur les murs blancs mais aussi sur le manche et dans les poils verts du balai de cantonnier posé dans un coin de la cour.

     

    Pendant ce temps-là nous avons 34° à l’ombre mais il fait bon « frais » dans la maison.  

     


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