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    Nous l’avons eu ! Quel spectacle complet ! Lumière, son et matière gratuits pour tout le monde. Cela a commencé vers minuit et a duré une paire d’heures.

     

    C’était pour moi le plus gros orage depuis au moins 20 ans. Tout le ciel dans toutes les directions illuminé par de fameux arcs électriques en quantité invraisemblable…

     

    Wagnérien et Dantesque à la fois.

     


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    Maman avait hérité de ses parents une sacrée trouille des orages. Quand j’étais enfant les orages d’été étaient parfois aussi violents que ceux que nous connaissons aujourd’hui.

     

    Inlassablement ma mère récitait alors le « Notre Père » et les paroles de sa prière gonflaient au fur et à mesure des éclairs et du tonnerre : au plus fort du phénomène maman « criait » son « Pater ». Plus que l’orage, sa façon d’implorer le ciel finissait presque par me terroriser !

     

    Entre-temps j’ai aussi vécu les orages tropicaux au Congo : je me souviens de l’onde de choc contre les murs d’un building et le bruit du tonnerre amplifié par les montagnes entourant la cuvette qu’était Léopoldville.

     

    Alors, cette nuit en voyant les éclairs remplir le ciel, j’ai mis en évidence une grosse bougie… des fois qu’il y aurait des coupures de courant.

     


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    Il a de nouveau fait fort chaud ce vendredi : 34 à 35° à l’ombre. Heureusement, dans la maison nous pouvons maintenir 23 à 24° en fermant les volets et en vivant dans une pénombre relative.

     

    Jipi est encore plein d’ardeur, alors que je me sens plutôt vaseuse. La maison est grande et je ne veux pas vivre seulement à en faire le nettoyage.

     

    De trois choses l’une :

     

    -      Ou bien nous avons laissé les portes d’accès ouvertes les premiers jours,

     

    -      Ou bien il y avait déjà des nuisibles dans la maison précédemment,

     

    -      Ou bien, les nuisibles sont venus avec le linge et le reste du moulin humide du cousin.

     

    Toujours est-il que le soir, une fois les lampes allumées, il y avait une énorme quantité de petits « papillons de nuit » qui nous embêtaient en voltigeant autour de nous.

     

    En consultant la toile, j’ai dû me rendre compte que ces petites bêtes étaient probablement des mites. J’avais encore quelques plaquettes d’antimites dans nos bagages et je me suis hâtée d’en acquérir d’autres à la superette de Moulins-Engilbert. Efficace ! Plus que deux de ces bestioles hier soir…

     

    Comme la chambre à coucher est en pleine rénovation, les meubles et le lit qui doivent y trouver leur place sont toujours en pièces détachées dans le living et ailleurs. Cela ne facilite en rien le rangement ni la netteté des lieux. Savez-vous que dans la cuisine – sous la table – se trouvent encore 7 valises avec des vêtements ? Un panier à linge contient aussi du linge lavé protégé par de vieilles nappes de table propres. Mais quand-même ! Ce linge va sûrement s‘imprégner des odeurs des préparations de poisson ou de friture. Je n’aime pas ça.

     

    Bref : notre maison n’a pour le moment aucune capacité d’accueillir qui que ce soit pour un repas ou un petit séjour… et je me sens très fatiguée.

     

     

    NOTRE QUOTIDIEN

           Le lustre de la salle à manger doit normalement se trouver au-dessus de la table ad-hoc. Nous avons dû repousser la table qui fait maintenant office de plateau de bureau et Jipi se cognait la tête à chaque passage. Vous voyez le décor pour empêcher cela ?

     

    Le soleil brille encore fort en début de soirée et pour pouvoir NOTRE QUOTIDIEN regarder la télé sans tous ces reflets, Jipi a installé un « store » provisoire avec un bout de carton et du fil électrique.  

     

            Voilà, voilà. Demain est un autre jour et d’après les prévisions météo, nous aurons un peu moins chaud.

     


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    Ici, dans la région, il n’y a pas ou très peu de vignobles. Le paysage joliment ondulé montre des prés avec des bovidés charolais, des bouquets d’arbres et des bois, des rus, ruisseaux, rivières et lacs.

     

    Le calme parfait. La maison est séparée de la rue (une départementale) par une très large haie de tuyas et notre chemin d’accès au garage.

    MOISSON

     

    Nous aurions pu avoir des voisins mais la maison de l’autre côté de la rue est à l’abandon depuis plus de dix ans : les propriétaires vivent en Amérique et voudraient la vendre. Entre-temps les années passent et la bâtisse commence à se dégrader.

     

     

    Le côté nord de notre maison est bordé par un chemin agricole. Hier soir nous avons eu du spectacle. Trois trains d’engins y sont passés : une moissonneuse-batteuse gigantesque et deux bennes à grain derrière leur tracteur. Ils sont arrivés vers 19h30 et trois heures plus tard le travail était accompli et tous ces véhicules illuminés de phares puissants ont repris la route de la ferme.      

     


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    -      C’est une affaire de 15 jours, m’affirmait un Jipi très  optimiste en parlant du réaménagement de la chambre à St-Ho.

     

    Deux semaines se sont écoulées… Il en faudra bien 4 autres – au moins – avant que la chambre soit terminée. Entre-temps je revis les mêmes circonstances qu’à Lille : il y a un peu moins de six ans.

     

    En ce temps-là à Lille :

    MEMES CAUSES, MEMES EFFETS.

    MEMES CAUSES, MEMES EFFETS.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Aujourd’hui ici :

    MEMES CAUSES, MEMES EFFETS.

    MEMES CAUSES, MEMES EFFETS.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et où dormons-nous dans l’intervalle ? Dans la mezzanine, sur la banquette clic-clac installée à l’étage.

    MEMES CAUSES, MEMES EFFETS.

     


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