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    Petit à petit on s’habitue. Les premiers jours cette odeur de « mazout » était fort désagréable. Il n’y a évidemment pas de fuel dans l’eau mais elle garde l’odeur du soufre qu’elle contenait au captage (aux sources de la Dragne).

     

    Par contre, je ne dois plus détartrer la bouilloire : aucun dépôt calcaire ne s’y forme. Nous sommes avertis de ne pas boire l’eau de notre réseau d’eau chaude (celle-là sent encore plus fort). Alors qu’à Bruxelles je buvais volontiers l’eau du robinet, ici elle ne me tente pas. D’ailleurs, Corine qui s’y est prêtée, a trouvé que cette eau « a un goût » et elle ne semblait pas enthousiaste !

     


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    Notre rhume d’été s’est transformé en grosse bronchite avec des quintes de toux pénibles. Cela fait une bonne semaine que Jipi ne dort plus dans le lit : la toux s’aggrave chez lui en position horizontale. Il passe la nuit assis dans un fauteuil et ne récupère pas.

     

    Hier nous constations que dans notre état nos travaux n’avancent plus. Il en a fait la description en ces termes : nous sommes là, avachis dans notre pré, à ruminer notre joie !

     


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    Il y a, dans notre petit domaine, des endroits où je n’ai pas encore mis les pieds. Il faudra qu’un jour j’aille visiter le petit appartement de la façade sud, que je vois de mes yeux les deux grands greniers et que je m’aventure dans la deuxième cave. Si je ne suis pas pressée c’est bien parce que j’ai déjà les mains pleines pour gérer et entretenir (dans la mesure du possible pendant le chantier de la chambre) les pièces où nous vivons dans la maison.

     

    Pourtant, chaque jour je pose le regard désabusé sur le potager. La terre est dure comme pierre, avec des bosses et des fosses et y poussent à volonté pissenlits, chardons, rues et fausses carottes.

    LE POEME DU POTAGER.

     

    L’autre côté du jardin est une oasis de belle verdure verte, sur le talus on peut admirer les fougères de belle taille et ailleurs on admire les magnifiques orties et plantes sauvages en plus de quelques arbres ou arbustes morts depuis longtemps.

    LE POEME DU POTAGER.

     

    N’auriez-vous pas une indication à donner à la gendarmerie concernant la dépouille d’une victime d’un affreux assassinat et enterrée ici ?

     

    … Ils me retourneraient la terre gratos, voyez-vous ?

     


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    Il était bien déjà 11 heures de la matinée dimanche quand Jipi a commandé un grille-pain sur la toile. Le fournisseur certifiait que l’appareil était de stock et qu’il serait livré le lendemain à domicile. Jipi n’y croyait pas trop.

     

    Mais, surprise, lundi matin vers 9h30 nous en prenions livraison.

     

    Qui dit mieux ? Si nous avions dû nous rendre dans une ville des environs (entre 30 et 70km pour l’aller et autant pour le retour), jamais nous n’aurions pu griller des tartines déjà à midi !

     


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  • Un qui tousse ?

    Toux pour tous !

    Avec en suspension la question existentielle d'Aral.

    Vous savez que la mer d'Aral est quasi sèche. Mais comment va le père d'Aral ?


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