Cela c'est à l'ouest et  voici le reflet sur un immeuble à l'est.

Vous voyez l’heure où je poste cette note ? Ben oui, quoi : je suis impatiente, tout cela ne presse pas, dans cinq minutes ça va !

Jipi rentre en fin d’après-midi : je voudrais qu’il soit déjà là !

Entre-temps les mises en scène pour l’apéritif et le repas du soir sont en place. Oh non ! Ce ne sera pas la grosse luxure du vendredi, mais cela y ressemblera furieusement.

Vers midi il se trouvait avec ses chevaux-vapeur à hauteur de Troie. Je l’attends, si la route n’est pas trop encombrée ou mauvaise, vers 17h30 au plus tôt mais je pense qu’il sera bien 18 heures bien faites.

Donc : j’attends. (avec impatience, vous ne devez pas en douter)

Parfois une absence de 15 jours dure une éternité.

Quand nous habitions à la campagne, j’ai bien connu l’âne de Denise. Il était très vieux car il venait de ses grands-parents.

Tout seul dans sa praire, il lançait quelques braiements à l’occasion, souvent le soir, juste avant la tombée de la nuit. Je me demande s’il aurait aimé manger des lentilles, fraîches évidemment ?

En tout cas, les lentilles que je m’étais préparées l’autre jour étaient si bonnes que j’aurais facilement cédé mes droits d’ânesse pour un autre plat !

Mais voici un concerto :

C’était en juillet 1992 et nous étions très loin encore de l’ère des smartphones et des tablettes et pourtant... L’un des patrons de la fonderie venait d’accorder un job étudiant à la jeune fille d’une de ses connaissances : elle allait s’initier aux travaux administratifs dans les bureaux.

Cette petite personne délurée, extravertie et sachant surtout ce qu’elle ne voulait pas (si tant est qu’elle savait ce qu’elle voulait) n’est restée que deux heures ! Elle a refusé tout ce qui lui était proposé comme « travail », arguant avec force que : « Ah non ! Je ne veux pas faire ça, ce n’est pas dans mes habitudes ! »

… Nous en sommes restés baba.

… nous pensons que certaines personnes ne fêteront pas Noël avec leur  dinde…

Il y en a qui sont célibataires !