• SŒUR SOURIRE : en privé, Jipi et moi l’appelions ainsi, mais en réalité elle était « sœur Odile ». Hier elle est partie pour sa communauté du côté d’Auxerre. Elle a été une curiste locataire exemplaire et avait le sourire chaleureux et vrai.

    Elle m’a fait penser à la nonne chanteuse belge qui, après avoir quitté son couvent a mal vécu la suite de sa vie. Née en 1933 elle s’est suicidée en 1985. Ses chansons (chrétiennes) étaient fraîches, mais je suppose que si elle avait été de la génération suivante, elle aurait changé de saint à louer, car

    « Dominique nique, nique…. »

     


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  • Nous voici donc en octobre. Malgré la pluie de ces derniers jours nous sommes ici en « crise » d’utilisation de l’eau : les nappes phréatiques de la Nièvre sont au plus bas. C’est aussi le cas dans d’autres régions.

    La Belgique surréaliste a enfin une sorte de gouvernement qui ne fait pas l’unanimité (bof) à environ 500 jours depuis les élections. Il faut « le fer » (disait un mec qui se dotait d’une fonderie… ) De plus, les Belges ont une princesse en surnombre. Que des trucs réjouissants, non ?

    Mais la Belgique fait le ‘mougeon’ (contraction de mouton et pigeon) comme le reste de l’Europe par rapport au traitement des points chauds actuels : Covid, immigration, criminalité, racisme, et j‘en passe.  

    Mais à St-HO un truc EXTRAORDINAIRE se passe ! Il y aura demain ou après-demain une vraie sonnette sur notre porte….


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  • Pendant vingt ans environ j’ai connu Marc. Il était un « fils à papa » et donc bien nanti. Marié depuis 17 ans à l’époque, il ne manquait à ce couple que l’enfant qui ne se présentait pas. Ils se sont donc rabattus sur une éventuelle adoption.

    C’est ainsi qu’ils ont trouvé le petit garçon de cinq ans qui était dans un orphelinat de la région. Leurs rencontres avec l’enfant ont débuté par des visites, des petits cadeaux, puis des sorties d’un jour et enfin la venue du gamin chez eux les week-ends et pendant les vacances. Ils avaient engagé la procédure d’adoption.

    Alors c’est produit l’inespéré miracle pour eux : la femme de Marc était enceinte. C’était aussi la cata totale pour le petit  orphelin. Quasiment du jour au lendemain, plus aucun contact avec ses « futurs parents adoptifs ». Il y a tout juste eu un dernier geste : l’ouverture d’un compte dotation pour l’enfant dont il pouvait disposer à sa majorité.

    Cette histoire vraie me chamboule encore aujourd’hui : comment peut-on être aussi cruel ?   


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  • Aux petites heures du matin, quand j’ai rallumé le PC, il y avait une mise à jour de l’antivirus. J’ai laissé faire, hélas !

    Parce-que tout de suite après je n’ai plus pu avoir accès à certains sites, dont ce blog.

    Cherchez donc le « bug » madame !

    C’est là que j’ai râlé. Fort.

    Il m’a fallu plus d’une heure avant de trouver que les « java-scripts » étaient bloqués. Je ne suis pas une pro de l’informatique, hein ?    


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  • « Chez Tim » était l’enseigne du petit magasin de dépannage à Koekelberg, tout près de chez moi. J’attendais mon tour et la cliente qui me précédait était une Asiatique qui semblait ne pas parler le français.

    Donc : elle s’est un peu accroupie, a dit cot-cot-cot puis a montré tous ses doigts plus encore deux. Elle a promptement été servie de la douzaine d’œufs qu’elle voulait.

    Quand j’ai raconté cette anecdote à Jipi, il m’a étonnée en racontant à son tour la gestuelle de sa fille, en vacances en Italie avec un groupe de jeunes de son âge. La cheffe avait demandé qui pouvait se débrouiller en italien. Karin s’est présentée. Elle a été envoyée chez le boucher pour acheter une 20aine de côtes de porc. Elle ne connaissait pas ces expressions-là. Et donc devant le boucher, elle s’est tapé les côtes comme si elle se hachait, a fait un bruit de cochon et montré deux fois ses dix doigts. Opération pleinement réussie.

    Comme quoi, il ne faut pas toujours un traducteur qui parle 43 langues.


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