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Hier j’avais exprimé mon désir de préparer des poirées (bettes ou blettes selon les régions) à cardes blanches, Jipi m’a dit qu’il s’en occupait. Je ne peux plus les récolter moi-même.
Alors, que m’a-t-il ramené ?
Deux fraises, 5 petites tomates (dont une pas mûre du tout), 6 oignons blancs avec beaucoup de tiges vertes et très peu de bulbes, deux petites courgettes à moitié éclatées et un mini concombre de 13 cm de long. Mais encore : une grosse grappe de raisin et une quantité de noix. Pas de quoi se plaindre finalement.
Et les poirées dans tout ça ? Il lui a semblé qu’elles commençaient à « profiter » et il n’a pas voulu leur faire du mal !
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Amis de France, voici.....Un Belge se promenant dans une forêt comtadine tombe nez à nez avec deux chasseurs français traînant un énorme sanglier qu'ils viennent d'abattre. Ils profitent de cette rencontre pour souffler un peu- Belle bête ! dit le Belge.- Un beau mâle en effet, répond fièrement le premier chasseur en s'épongeant le front. Je ne saurais dire combien il pèse , mais il fait pas loin des 180 kg.Alors le Belge suggère : - Je ne suis pas chasseur, mais il me semble que si vous le tiriez par la tête plutôt que par la queue vous feriez moins d'efforts.- Et pourquoi par la tête ? demande le second chasseur.- Parce qu'en le tirant par la tête, vous seriez dans le sens des poils et il glisserait plus facilement.Les deux chasseurs décident d'essayer. Et effectivement l'animal glisse sans difficulté sur les feuilles.Ils remercient le Belge d'un large sourire, le saluent et reprennent leur route.Au bout de dix minutes, l'un des Français dit à son compagnon :- Faut pas dire, mais ces Belges, ils sont quand même intelligents !- Tu as raison, maintenant c'est beaucoup moins pénible. Mais le problème, c'est qu'on s'éloigne de la voiture. 3 commentaires
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Au moins une bonne nouvelle quelque part. Dans la commune de Wuustwezel (Belgique, province d’Anvers) des voisins se sont inscrits à des cours du langage des signes, afin de communiquer avec un petit garçon sourd de 6 ans. Bravo à eux.
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Il y a plus de 70 ans que j’ai connu ce beau jeune homme, mon cadet d’un an, et qui a fini une vie d’artiste reconnu. A l’époque il était le frère de deux de mes amies au pensionnat et il faisait ses études de graphisme dans un Don Bosco.
http://www.artnet.fr/artistes/ronald-ergo/
C’est le seul de cette famille adorable que j’ai retrouvé sur la toile. Je crains que ses sœurs ne soient déjà plus de ce monde.
Sa maman s’était aussi liée d’amitié avec la mienne.
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