Quand j’étais jeune adulte, vers 1953 par-là, je voyais beaucoup de « vieux » autour de moi qui étaient tristement usés par la vie, malades ou infirmes. J’avais donc décidé qu’il ne fallait surtout jamais atteindre la soixantaine et que je me suiciderais – si je vivais toujours – le jour de mes 59 ans.

Mes 59 ans sont passés depuis un quart de siècle !

Aurais-je changé d’avis ?

Nous avons le droit de manifester notre enthousiasme, notre tristesse, notre désaccord et bien d’autres choses : c’est la démocratie.

Elle a un prix : il faut obtenir l’autorisation de la commune ou de la ville qui mettra en branle les forces de police et/ou d’autres : à vos portemonnaies chers cons-citoyen(ne)s. On n’a rien sans l’apport les moyens financiers.

Ne parlons pas des Gil et John. Infiltrè par des terroristes, le spectacle devient lamentable et honteux.

De plus, les petits jeunes manifestant pour le climat, n’ont aucune idée de l’impact en espèces trébuchantes de leurs juvéniles revendications. Par contre, ils sont peu enclins à renoncer à leurs petits « selfies », leurs belles vacances par avion et d’autres trucs du genre… Vive les parents soi-disant écologistes et l’éducation qu’ils ont donnée à leur progéniture.

Merci pour les coûts supplémentaires et un détournement  « improductif » de la police : pendant qu’ils surveillent les manifs, ils ne peuvent en même temps protéger la majorité des citoyens d’un tas de méfaits des voyous. A l’impossible nul n’est tenu.   

Mais dans quel genre de société vivons-nous aujourd’hui ?

Bref : JE SUIS CONTRE.

Et vous ?   

Il y a des jours de bonheur.

 Hier j’ai trouvé dans la boîte aux lettres une missive de ma compagnie d’assurances me certifiant que la compagnie adverse (celle du propriétaire) reconnaît la casse du 7 août 2018 COMME N’ETANT PAS DE MA FAUTE !!!

 Quel soulagement !  Car ces cons-là (l’assurance inverse) m’ estimaient responsable de la « défenestration » du living par la rafale tempétueuse avec décollement d’une fenêtre du living ne tenant plus que sur une seule charnière et que nous avons réussi à « fermer quand même » avec du collant de fortune.

Cette histoire me pesait beaucoup étant donné les excellentes relations que nous avions avec la propriétaire depuis le début de notre location et que je veux faire perdurer après notre déménagement…

Elle était grande, bien en chair, de noir vêtue des pieds aux genoux et du ras du cul au cou, montrant ses cuisses blanches.

Il était quelconque en costard sombre et dans la quarantaine.

Vers les 11 heures ils se sont pointés à l’hôtel où ils ont commandé le petit déj express à 5 € : une viennoiserie, un jus de fruits et une boisson chaude.

C’était un peu court et ils en ont commandé un autre.

A 10 € par tête de pipe, ce n’était pas bien cher pour les services rendus…