Du côté de Valenciennes il y a une magnifique usine MMM (3M) où l’on fabrique toutes sortes de papiers.

C’est une très belle installation, nette et propre.

Un jour le jardinier venait voir le PDG pour lui annoncer qu’il voulait encadrer le domaine par une haie de thuyas.

-      Pas question ! dit le PDG outragé. Je veux des ifs !

Car c’est bien connu, le  MMM a des ifs.

(adhésif)

Aujourd’hui je prends une toute petite miette de mon gâteau : à ma naissance il était bien gros, tout rond et joliment garni de cerises. Il est mangé à 95% je crois…

Par chance chaque miette a gardé intact le merveilleux goût de la vie…

Humour, quoi que .....

Un Bourgmestre Wallon (ou Flamand, c’’est kif-kif)  décide de faire repeindre la façade de l'hôtel de ville.
Il lance un appel d'offres.

On lui présente 3 devis : un émanant d'un entrepreneur Wallon, un autre d'un Flamand et un dernier d'un Polonais.

(On peut intervertir les trois à sa guise, c’est même recommandé)

Le devis du Wallon s'élève à 90.000 €

mais celui du Flamand à 60 000 € !

celui du Polonais à 30.000 € !!!

Devant de telles différences, le maire convoque les trois entrepreneurs séparément pour qu'ils détaillent leur estimation !

Le Polonais dit qu'il utilise de la peinture acrylique pour murs extérieurs en deux couches pour 10.000 € chacune,  pour les échafaudages, les brosses et les équipements divers et assurances 10.000 € et les 10.000 autres euros pour la main d'oeuvre ..

Le Flamand justifie son devis en affirmant qu'il est meilleur peintre, qu'il utilise des peintures de polyuréthane en trois couches dont le coût s'élève à 20.000 € au total.

Les échafaudages et autres matériels, équipements et assurances coûtent 20.000 € et les 20.000 € restants, c'est la main d'œuvre

Le dernier, le Wallon est celui qui remporte finalement l'appel d'offres.

Le bourgmestre estime qu'il présente le devis le mieux justifié.

Le Wallon lui a présenté comme suit :

Monsieur le Bourgmestre,

30.000 € pour vous.

30.000 € pour moi.
et les 30.000 € restants, nous les donnons au Polonais pour qu'il peigne la façade.

J’ai beaucoup de défauts et quelques qualités ; comme nous tous. Je n’avouerai pas, pour le moment, mon plus grave défaut – conséquence de ma vie d’ex-coloniale au Congo ex-belge – quoi que certains de nos amis savent.

Mais donc, le second plus grave défaut de ma personne – mais qui est aussi une qualité indéniable – c’est l’IMPATIENCE. Cela ma vaut par contre énormément de temps où je m’ennuie.

C’était particulièrement le cas durant mes études : ça n’en finissait pas de redire, de ressasser et j’avais l’impression qu’on apprenait si peu de choses.

Quand un projet est en marche, je veux voir tout de suite la « fin » des opérations !

Je sais : cela met drôlement la pression sur les personnes qui doivent intervenir… Jipi en sait quelque-chose. Parfois il aime, souvent il déteste.

Lui contre est tenace et si quelque chose dans un travail ne va pas, il cherche patiemment les raisons et parvient à y remédier. Il est aussi très – mais alors très – explicatif.

Certaines personnes qui doivent l’écouter feraient bien de prendre un couple d’aspirines avant l’avalanche des détails avec des mots à mille balles…

A part ça ? Nous sommes parfaits.

Comme il y a un très grand potager à Saint-Ho, Jipi voudrait bien que j'y  cultive aussi des patates : je ne suis pas chaude. J'en ai planté une seule fois et la récolte n'était pas à la hauteur de mes attentes !  Si au moins je pouvais planter des arbres à spaghettis...