• Vers 14 heures le déménagement de Jipi était accompli. Un hic cependant : les 2 fauteuils et la table n’ont pu être montés à l’étage du petit appartement indépendant, ils sont trop larges. Il faudra mettre en œuvre un système avec treuil et cordes pour les monter par la fenêtre.

    Quand Jipi a eu fini de ranger les choses, il a pu profiter du beau soleil en se relaxant sur le balcon… Mais non, je n’étais pas là mais je vous ai arrangé la scène…

    ENFIN RELAX

     


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  • Pouvez-vous m’aider svp ?

    C’est pour écrire une lettre de remerciements caustique, ironique et sarcastique à un certain Philippe.

    Comme certains lecteurs le savent il est à la fois le cousin germain et le filleul de Jipi et l’actuel propriétaire d’un petit domaine que j’appellerai « le moulin ».

    Les motifs du remerciement ?

     C’est demain matin que Jipi va récupérer toutes ses affaires au dit moulin. Ce cher Philippe a mis des conditions (je le cite) : « « Je ne VEUX pas te recevoir pour la nuit. Ton déménagement se fera à mes conditions : « tu viens le matin avec le camion, tu charges et tu déguerpis. » »

    ALAIDE  : AIDEZ-MOI svp

     

    Or, il se fait, comme certains le savent déjà, que Jipi a avancé des montants plus que conséquents pour l’entièreté du chauffage géothermique et un très gros acompte pour les panneaux solaires à placer sur le toit (montants non récupérés à ce jour). 

    Jipi a aussi énormément travaillé dans ce bordel de moulin aussi bien avant l’achat que par la suite.

     Je voudrais donc pouvoir remercier en termes adéquats le Philippe si « cher » à nos yeux et d’une chaleur humaine sans pareille !!!

     

    Merci de votre aide.

     


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  •  

    Jadis…

    LE BALCON ...

    LE BALCON ...

    LE BALCON ...

    LE BALCON ...

     

     

    Depuis ce matin il est nu : Jipi a emporté à St-Ho les jardinières, les pots, les bacs à semis, tout le bataclan.  

     


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  • Aujourd’hui Jipi allait présenter la Pijot au contrôle technique : nécessaire contrôle car il a fait placer un crochet d’attelage pour pouvoir transporter la remorque à St-Ho.

    Ce n’était pas simple : il a poireauté pendant près de quatre heures avant que n’arrive son tour : il a obtenu une carte verte.

    Pendant qu’il était parti je me suis mise à détartrer la cafetière qui semblait avoir quelques soucis : il restait toujours un fond d’un cm d’eau dans le réservoir.

     Là, c’était la loi de Murphy ! Le passage du détartrant ne s’est pas bien passé : toujours ce problème de fond d’eau. Quand j’ai vidé le réservoir en mettant de l’eau propre dans le réservoir pour rincer le tout : inondation de la table de travail ! La cafetière est morte, bien morte, fuit de partout et ne chauffe plus.

     Comme j’avais un peu frais j’ai enfilé un gilet : rien à faire, le syndrome de Raynaud m’a prise d’assaut.

    syndrome Raynaud Wikipedia(Wikipédia)

    mon Raynaud

     

    FOURT !!!

     

     

     

     

     

     

     

    (mes doigts ce matin

    C'est toujours au plus mauvais moment 

    qu’une machine du ménage tombe en panne. Je me souviens de ce début de septembre 2012 où je n’avais pu accompagner Jipi à Ornans pour les obsèques de Mame car de mon côté j’avais perdu ma maman en avril de la même année et nous devions passer chez le notaire pour la vente de sa maison. Et qu’est-ce qui est tombé en panne ? Ce bon vieux frigo ! La veille du jour où je prenais le train pour Besançon pour être à temps pour les funérailles.

     J’ai dû tout vider, mettre les aliments dans des sacs poubelle et trouver un endroit dans le quartier où le ramassage se faisait le lendemain.

    Or, il se fait que demain matin le Jipi part au moulin pour le déménagement de ses affaires vers St-Ho.

     C’est là que la cafetière m’a dit « FOURT » (fourt = merde)

    D’accord, j’ai encore un « senseo » et du café soluble, mais ce n’est pas l’idéal pour le petit déjeuner d’un homme qui a l’habitude d’une bonne dose de café le matin.

     


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  •  

    Ainsi va la vie : l’un jour apporte la joie d’une fête familiale et le lendemain tu as entre les mains le faire part du décès de ta seule amie d’adolescence avec qui tu partageais tes espoirs, tes idéaux, tes petits secrets ; elle semblait pourtant être encore en si bonne santé…

     

    C’est là qu’on ressent comme une terrible amputation et c’est irréparable.

     

    La vie est fragile et mène inexorablement vers la mort.

     


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