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PLUS DE PERCHOIR...
Ils ont cassé le perchoir de ma volière en plein air ! Ils étaient trois, munis de tronçonneuses. D’habitude ils étaient trois et faisaient de leur mieux du bec pointu de pic-épeiche, mais quelqu’un là-bas a décidé que le boulot dans le bouleau n’avançait pas assez vite. Plus jamais je ne verrai les oiseaux en tous genres se poser à hauteur de mes yeux. Snif.
Viviane, de l’appartement du bas et qui a aussi la servitude de nettoyer le toit du garage, sera ravie quand elle verra le résultat en revenant du travail. Elle détestait ce bouleau, surtout depuis qu’elle avait pris des bouts de branches sur la tête.
Avant c’était comme ça : mort mais fonctionnel.
Aujourd’hui il y avait un passage digne d’un zoo :
et voilà le résultat...
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Commentaires
Pauvres oiseaux et pauvre Godelieve.