Cela fait des années et des années que j’étais à la recherche d’un couple ami qui a enrichi ma vie. Le mari était un peintre (portraitiste et autre), déjà renommé, son épouse une merveilleuse amie très espiègle et TRES jolie. N’était-elle pas l’enfant (illégitime) d’un prince de Mérode et d’une miss Suède ?

C’est par l’un de leurs enfants, toute petite fille à l’époque (c’était vers 1960) que j’ai pu enfin exprimer ma gratitude.

Le peintre s’appelait Maurits Ver Elst : il est décédé bien trop tôt.  Sa femme est morte il y a un peu plus d’un an.

La petite fille d’alors, peintre comme son papa : Gloria Ver Elst.

Dans ma famille il y a un pastel de mon fils aîné et un charbon de bois de moi. Je suis en train de descendre (en souvenirs) dans les plus belles années de ma vie. Ils étaient d’abord des collègues à l’athénée et école normale de Ngiri-Ngiri, puis des amis inoubliables.

Pour le moment je suis comblée par ses retrouvailles.