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MON PREMIER AVOCAT SOLO
Un couple d’enseignants installés depuis quelques années à Léopoldville, avaient invité des « nouveaux » collègues fraîchement arrivés à un repas pour y goûter des plats avec les produits locaux. C’était en 1957.
L’entrée : avocat à la sardine.
Je ne connaissais pas du tout l’avocat, surtout pas celui-là et j’avais été séduite par son goût onctueux. Evidemment, il fallait absolument que je l’introduise dans mon menu personnel.
Je me suis donc rendue au marché congolais où on m’a refilé un avocat loin d’être mûr.
Résultat : je l’ai coupé en deux, pelé. La chair était dure comme pierre si bien que j’ai cru que c’était le noyau qu’il fallait manger.
Voyez figure !
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Commentaires
2BobSamedi 12 Décembre 2020 à 15:143Mme ChapeauMardi 15 Décembre 2020 à 16:38
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Bizarre qu'on vous ait refilé un avocat pas mûr. Dans les souvenirs de ma mère, sur place, on ne vendait que des choses savoureuses.