• MON PREMIER AVOCAT SOLO

    Un couple d’enseignants installés depuis quelques années à Léopoldville, avaient invité des « nouveaux » collègues fraîchement arrivés à un repas pour y goûter des plats avec les produits locaux. C’était en 1957.

    L’entrée : avocat à la sardine.

    Je ne connaissais pas du tout l’avocat, surtout pas celui-là et j’avais été séduite par son goût onctueux. Evidemment, il fallait absolument que je l’introduise dans mon menu personnel.

    Je me suis donc rendue au marché congolais où on m’a refilé un avocat loin d’être mûr.

    Résultat : je l’ai coupé en deux, pelé. La chair était dure comme pierre si bien que j’ai cru que c’était le noyau qu’il fallait manger.

    Voyez figure !


  • Commentaires

    1
    Mme Chapeau
    Vendredi 11 Décembre 2020 à 13:26

    Bizarre qu'on vous ait refilé un avocat pas mûr. Dans les souvenirs de ma mère, sur place, on ne vendait que des choses savoureuses.

    2
    Bob
    Samedi 12 Décembre 2020 à 15:14
    à la lecture du titre je pensais lire le récit d’ébats sexuels...
      • Samedi 12 Décembre 2020 à 18:00

        VICIEUX  !

    3
    Mme Chapeau
    Mardi 15 Décembre 2020 à 16:38

    Le digne fils de sa mère?

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