• Rien n’est éternel.

    RIEN N'EST ETERNELLe dérouleur de PQ en bois dans le WC a vécu sa dernière faiblesse : l’embout fixe en plastic a cédé (à ma plus grande satisfaction !). RIEN N'EST ETERNELIl a donc été remplacé par un dérouleur plus moderne et nettement plus facile à recharger.

    Les PC.

    Pensiez-vous que Jipi tapait sur son clavier de PC avec la fougue de Gilbert Bécaud en envoyant les touches partout en l’air ? Pas du tout : il ne tape que des index de chaque main et pourtant : les touches se cavalaient. Il a pris contact avec un réparateur. Et bien : la pièce de rechange (clavier complet) arrivée n’est pas compatible avec son Dell spécialement configuré pour lui… il y a environ 12 ans. Il faut dire que son Dell pèse plus d 7kg (contre moins de 2kg de mon Lenovo) et qu’il avait coûté à l’époque environ 7 fois le prix d’un pc du commerce. Jipi attend donc un clavier neuf.

    Mon PC à moi a vécu. La semaine passée, en l’ouvrant, le couvercle contenant l’écran, s’est mis de guingois. J’avais été avertie que ce PC tiendrait « environ 4 ans ». Il fonctionne toujours mais je dois maintenant éviter le rabattement du couvercle. Bof… Le problème est mécanique, dans la charnière.

    Il commence aussi à pas mal chauffer…

    Et voilà, pendant qu’on y est : chauffer.

    La pompe à chaleur de cette maison a dix ans. Avant-hier, en allant aux toilettes la nuit, Jipi a constaté que le radiateur était froid. Je suis nulle en mécanique des machines et j’ignore si c’était le gros compresseur (générateur ?) qui avait rendu l’âme. Le second, plus petit, avait pris le relais à condition que la température extérieure ne soit pas négative : elle l’a été.

    Résultat : nous sommes contraints de vivre sur nos appareils d’appoint, mais ça va. Nous obtenons un petit 20° à mi-puissance et cela est très supportable.

       


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  • TOUJOURS AU BON MOMENT


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  • Les jours se suivent et parfois ne se ressemblent pas. Je viens de passer une semaine assez pimentée avec ce petit « plus » qui s’appelle gastro.

    Plus rien n’entrait : tout sortait d’une manière ou d’une autre. Très affaiblie j’ai dû déléguer le repassage à Sophie, la vaisselle et d’autres trucs ménagers à Jipi.

    Ils ont été efficaces. Et miracolo ! J’ai pu manger et garder ma portion de chicons au gratin d’hier soir. Me voilà ragaillardie … c’est fabuleux.

    Pourvu que ça dure.


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  • Petit à petit je tente de « faire l’éducation » de Jipi pour sa future vie en solo : ce n’est pas gagné !

    Ainsi donc j’avais établi une belle liste d’achats à effectuer accompagnée de ma carte bancaire : il est parti au magasin en oubliant « la mayonnaise » car ma liste et ma carte sont restées sur la table. Où avait-il la tête ? Bien sûr, il a quelques trucs à suivre de près pour gérer ses projets de panneaux solaires, d’épuration de l’eau du puits et d’autres… assez éloignés de mes propres préoccupations.

    Résultat : il m’a encore ramené du céleri… En branches et en rave. J’en ai marre de manger du céleri le lundi, le mardi et… tous les autres jours ! C’est un bon légume pourtant, mais chaque jour ???

    Alors, la semaine dernière, je ne lui ai pas fait de liste « pour voir » s’il pouvait avoir une idée des besoins hebdomadaires du ménage. Vous savez quoi ? Il m’a ramené du CELERI.

    Donc, en début de cette semaine, je lui ai établi une liste très détaillée de mes souhaits en me creusant les méninges pour imaginer ce que le supermarché pouvait proposer en cette saison. Je l’ai suivi de près avant son départ pour qu’il n’oublie pas mon papelard : succès.

    J’ai obtenu le chou rouge et les pommes acides que je voulais : victoire !

    De ce côté-là… mais ce n’est pas gagné du tout pour qu’il puisse vivre en indépendant. Cela m’inquiète.


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  • Les nuits deviennent fraîches : nous jouissons de -3°C. Caillant quand on va fumer sa clope dans la cour sous le ciel étoilé…

    Mais voilà, la nature présente aussi des choses incroyables.

    Au mois de mai dernier Sophie me confiait avoir semé du persil l’année d’avant (le persil a réputation d’avoir du mal à germer) et qu’elle n’en avait récolté aucun brin. Il n’était pas sorti. Grande surprise au printemps : du persil il y en avait, en veux-tu, le voilà.

    Moi j’ai semé du persil en pleine terre à la fin du mois de mars et en bac un mois plus tard. Il est sorti ce mois-ci !!!

    Avant-hier Jipi a pu déguster encore deux belles fraises et il reste des bettes à récolter.

    Pendant ce temps-là j’ai des frissons qui me parcourent l’échine : neige bientôt ?

    Très mauvaise nuit : crampes horribles et de longue durée dans les mains, surtout la gauche.   


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