• En cette fin d’année il y a eu une nouvelle attaque de loup sur les ovins. Le loup en question n’est pas affamé : il ne mange pas les moutons ou agnelles qu’il attaque. C’est un tueur et cela ne fait pas plaisir aux éleveurs d’ovins.

    LE LOUP DANS LE MORVAN

    Ils ont droit à des indemnités d’état ? Cela leur fait une belle jambe.

    Quelle idée de certains « verts-écolos » d’avoir voulu réintroduire le loup dans un pays qui n’en demandait pas tant.

    Depuis plus de 80 ans je sais que ce vilain méchant a mangé la grand-mère du Petit Chaperon Rouge, et même avec les portillons de la cour fermés, je ne me sens plus tellement en sécurité la nuit dans notre cour.


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  • Le tube digestif passe-t-il par le nez ?

    L'autre matin j'ai éternué un petit pois: celui du riz cantonnais mangé la veille au soir, sans aucune fausse route toutefois.

    Alors quid ?

     


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  • Un couple d’enseignants installés depuis quelques années à Léopoldville, avaient invité des « nouveaux » collègues fraîchement arrivés à un repas pour y goûter des plats avec les produits locaux. C’était en 1957.

    L’entrée : avocat à la sardine.

    Je ne connaissais pas du tout l’avocat, surtout pas celui-là et j’avais été séduite par son goût onctueux. Evidemment, il fallait absolument que je l’introduise dans mon menu personnel.

    Je me suis donc rendue au marché congolais où on m’a refilé un avocat loin d’être mûr.

    Résultat : je l’ai coupé en deux, pelé. La chair était dure comme pierre si bien que j’ai cru que c’était le noyau qu’il fallait manger.

    Voyez figure !


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  • Quand on habite, comme nous, dans un petit village de la France profonde, le confinement dû à la crise du coronavirus et qui nous affecte depuis 9 mois (sur les 18 de notre résidence effective) la « toile » n’est pas la solution aux problèmes : il faut pouvoir parler avec les gens d’ici.

    C’est ainsi que nous pouvons annoncer un dépannage du chauffage miraculeux.

    Je passe les détails. Mais voilà que Martin G., plombier et chauffagiste qui n’habite qu’à quelques centaines de mètres de chez nous, a retrouvé son « bébé » : la chaudière au fioul dans l’une de nos deux caves. Il l’avait installée – il y a plus de 40 ans – dans la maison de son tonton.

    Le brûleur était mort : Martin G. en avait à prêter. Il a bichonné son petit « bébé » de fond en comble. La jauge de la citerne était menteuse et prétendait qu’il y avait encore 400 litres de fioul dans la cuve : il n’y avait que crotte ! Mais, grâce à Martin G. nous avons pu contacter un fournisseur pas loin et qui nous a livré 2000 litres hier matin : hop ! hop ! hop !

    Voilà du chauffage au fioul remplaçant celui de la pompe à chaleur en attendant les pièces de rechange qui doivent venir de l’étranger.

    Ah ! C’est mille fois mieux qu’un chauffage d’appoint.


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